Mais je suis aussi favorable à ce que chacun puisse choisir librement de travailler ce jour-là, sur la base du volontariat. Nos boulangers, nos fleuristes, nos restaurateurs, et tant d’autres artisans du quotidien, jouent un rôle essentiel dans nos vies et dans l’animation de nos centres-villes.
Soutenir le commerce de proximité, c’est défendre ce lien humain irremplaçable, cette convivialité, cette économie locale qui donne vie à nos quartiers.
Liberté de choix, respect des droits, et valorisation de ceux qui font battre le cœur de nos villes : c’est l’équilibre auquel je crois.
