


Ce dimanche, en fin d’après-midi, j’étais aux côtés de Karine Emonet-Villain pour la clôture du colloque sur la fin de vie, au Centre de diffusion artistique.
Merci à Miriam Meier, à son équipe et à l’ensemble des intervenants d’avoir fait de ce colloque un espace rare de respect, d’écoute et d’humanité.
Je l’ai dit en clôture, et je le redis ici :
« Tant qu’il y aura de l’humanité dans nos accompagnements, il n’y aura jamais d’indignité dans nos fins de vie. »
Ces échanges m’ont conforté dans une conviction profonde : notre devoir collectif est de développer les soins palliatifs partout en France, pour que chaque malade, chaque famille, soit entouré·e avec chaleur, douceur et présence.
Parce qu’au fond, ce que les personnes en fin de vie demandent, ce n’est pas de mourir plus vite : c’est d’être aimées, entendues, comprises.
Merci à tous ceux qui, dans l’ombre, font vivre la dignité.


