Il y a 55 ans jour pour jour, le 9 novembre 1970, s’éteignait le général Charles de Gaulle.
« Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France », écrivait-il. Une idée faite de grandeur, de dignité et de courage.
De Gaulle, c’est le refus du renoncement, c’est la voix du 18 juin qui dit « non » quand tout le monde se tait.
C’est la conviction que le destin d’un pays se joue d’abord dans la volonté de son peuple, et surtout, dans la foi de sa jeunesse.
Car le Général croyait profondément en la jeunesse française.
Il voyait en elle l’énergie, la force morale et l’intelligence nécessaires pour construire l’avenir.
« Puisque, en notre temps, la France doit se transformer pour survivre, elle dépendra plus que jamais de ce que vaudra l’esprit de ses enfants », disait-il.
Ce message est d’une actualité brûlante.
Aujourd’hui, ce ne sont plus les armes qu’il faut porter, mais les valeurs.
Dans un monde bouleversé, la France a besoin d’une jeunesse engagée : engagée pour la République, pour le climat, pour la solidarité, pour la vérité et pour la liberté.
S’engager, c’est refuser l’indifférence. C’est dire que l’on croit encore en quelque chose de plus grand que soi : la France.
“Prenez invariablement la position la plus élevée, c’est généralement la moins encombrée. » répétait Charles de Gaulle.
Alors en ce 9 novembre, souvenons-nous du Général, mais surtout écoutons son message.
Soyons dignes de son exigence, portons haut notre idéal, et gardons vivante cette idée de la France fière, forte et fidèle à son histoire.
Vive le Général de Gaulle. Vive la jeunesse de France. Vive la République, et vive la France !
Karl Olive - Député des Yvelines




